Les personnages célèbres de la famille TURLURE (LERICHE)
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Le Baron TURELURE de la trilogie de l’écrivain Paul CLAUDEL |
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Les
trois pièces de Claudel se situent :
Toussaint Turelure est dans "l'Otage" et "le Pain dur" un personnage au tempérament généreux, plein de vie, de verve, immense, haut en couleurs et emblématique du bouleversement de la société alors survenu. |
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Le peintre Jean-Baptiste Joseph TURLURE : |
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"La Lettre" Huile sur panneau 19 x 17,5 cm . |
. On possède peu de renseignements sur la vie de JB TURLURE. Lors du second mariage de son frère, l'ancien terroriste Alexandre Joseph TURLURE (Arras, le 16 mars 1812), il habitait Paris. Trois ans plus tard, il fut recensé avec sa femme, Henriette Blondot, et leurs deux fils Henty, 13 ans et Emmanuel, 9 ans (AD M 3718, section D, n°1210). Son acte de décès le dit peintre en miniatures. L'oeuvre est aussi peu connue que l'homme. Très dispersée, elle est de plus anonyme, si l'on en croit V Advielle, qui indique que le peintre ne signait pas ses productions. Les deux toiles que le Musée d’Arras conservait avant la guerre de 1914-1918, ont disparu : "le Portrait de Sothieu" (h., 33 x 44, offert par L. Gauthier en 1844) et "Scène d'intérieur", qui représentait la Famille de l'imprimeur Bocquet en train de lire (h., daté du 6 novembre 1809, 8O x 96 donné par R. Brissy en 1878). Les tableaux cités au XIXème sciècle ne sont pas localisés actuellement : "Portraits du duc et de la duchesse de Choiseul - Praslin", "Portraits de Mr et Mme Leducq" (coll. Brissy d'Arras, en 1868), "Portefaix" (portrait en pied qui figurait en 1868 dans la salle de réunion de la corporation). Nous avons pu retrouver deux effigies d'assez mauvaise qualité, un homme et une femme, qui lui sont attribuées (coll. particulière Archicourt). Signalons aussi un portrait de député, gravé par Voyez et édité à Paris par Déjabin, signé TURLURE (épreuve AD, 4J472/62). |
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Le Soldat de l’Empire TURLURE |
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Il mène la révolte à l’île de Haïti contre l’esclavage, prône l’indépendance et la République est crée. | ||||
Jean-Baptiste TURLURE de Mesnil Jourdain - Louviers (27) |
Il reçoit la Médaille de Sainte - Hélène en 1857 |
Le Soldat de l’Empire TURLURE |
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Il reçoit le Légion d'Honneur en 1802 | |
Robin TURELURE |
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Trouvère | |
Famille TURLURE de VELLECOUR |
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A ce jour nous savons qu'elle était de la région de Metz en fin XVIIIème siècle, liée par le mariage aux nobles familles de : de LASSUS, de GARGAN et de BEAUFFORT ! | |
"Voici quelques détails biographiques sur François de Vellecour qui ne manquent pas d'un certain intérêt historique : Il naquit a Paris, le 02 mars 1742, de Nicolas Turlure de Vellecour et de Françoise Le Bourguignon de Bertherault. Après avoir été enseigne, puis lieutenant au régiment (le Touraine, il fut nommé successivement commissaire des guerres, commissaire principal, intendant de l'armée de Jaucourt pour l'expédition de Genève, commissaire ordonnateur principal des guerres à Thionville, Sierck et Rodemach. En l789, il fut élu député de la noblesse du bailliage de Thionville aux États généraux. Au commencement de la Révolution, après avoir été incarcéré, Nicolas Turlure de Vellecour émigra et se rendit a I'armée des princes, puis à l'armée de Condé, dont il fut créé l'intendant général en 1794. Le marquis d’Equevilly parle ainsi de cette nomination : « Le prince de Condé ayant reconnu la nécessité d’avoir à la tête d'une administration que la nouvelle situation rendait assez considérable, un homme susceptible d'en embrasser tous les détails, avait appelé M. Nicolas Turlure de Vellecour, commissaire ordonnateur très versé dans cette partie et qui en avait particulièrement donné des preuves pendant la pénible campagne de 1772, ou il avait été, chargé, après la retraite de M. de Calonne, des détails administratifs de cette armée. » (Campagnes du corps de Condé, t. 1, p. 373.) Th. Muret rend la même justice à Nicolas Turlure de Vellecour dans son Histoire de l'armée de Condé, t. 1, 1). 2M. En
1799, Nicolas Turlure de
Vellecour se rendit à
Londres où il obtint des fonds et fit agréer au ministère anglais
un plan d’organisation pour le corps royaliste. Dans son Histoire
des émigrés. t. 11, p. 340, Forneron
fait entendre que Nicolas
Turlure de Vellecour
quitta l'Angleterre mécontent du comte d'Artois.
Il alla ensuite a Mittau on il entra avec voix délibérative au comité
de Louis XVIII,
dans l'intimité duquel il vécut et qui le chargea de remplacer le
duc d’Aumont
dans l'administration de sa maison. Revenu à l’armée de condé en1801. Nicolas Turlure de Vellecour termina avec le général anglais Crawfort, le travail de licenciement de cette armée. Il rentra en France après la dissolution de ce corps. En 1804, il se trouva impliqué dans une prétendue conspiration dont son ami le baron de La Rochefoucauld aurait été le chef. A Sainte‑Hélène, Napoléon se rappelait cette affaire qui n'était sans doute que l’oeuvre de la police : « ,Ce M. de la Rochefoucauld organisait à Paris. dans l'intérêt du roi encore alors à Mittau. une conspiration dont le premier coup devait être la mort du chef du gouvernement. Ce M. de La Rochefoucauld a fini en prison après quatre ou cinq ans de détention. Quelqu'un ayant procuré les fils de cette affaire, un affidé de la police entra dans la conspiration pour en devenir un des agents les plus actifs. Celui ci fut prendre des lettres de créance dans un château de Lorraine, auprès d'un vieux gentilhomme qui avait tenu un rang distingué à l'armée de Condé et devait son retour à l'amnistie du premier consul. C'était lui qui était chargé d'accréditer et de procurer les moyens de parvenir jusqu'à Louis XVIII. à Ce bon et brave gentilhomme, il faut lui rendre cette justice, disait l'Empereur, ne s'y prêta qu'avec beaucoup de peine et une extrême répugnance, il était désormais bien tard, observait il, pour revenir a de pareilles entreprises. la France commençait a goûter le repos.... et il protestait surtout de son éloignement absolu a voir courir le moindre danger au premier consul. Après
avoir vu plusieurs fois Louis
XVIII à Mittau,
l’agent revint connaissant tout; on arrêta M. de
La Rochefoucauld et sa
bande. » (Mémorial de Sainte Hélène, Paris, Barbezat,
1830, t. XVIII, p. 187.) Ce que Napoléon
n'a pas rappelé, c'est que Nicolas
Turlure de Vellecour fut
arrêté et détenu un an au secret, avec le baron de
La Rochefoucauld, qui ne
mourut pas en prison, comme le croyait Napoléon,
et qui eut une assez haute positon sous la Restauration. (Biographie
universelle, suppl. l., t. LXXIX, p. 288.) Quant à Nicolas
Turlure de Vellecour. il
n'obtint pas une faveur, ce qu'il attribuait à la haine de M. de
Blacas. Il mourut dans
son château de Blettange, le 28 novembre 1829, conservant jusqu'à
la fin de sa longue vie toute son intelligence et une mémoire
qui lui permettait, à l'exemple de Louis
XVIII, de citer de
nombreux vers d’Horace
et de Virgile" Propos de Monsieur Bruno de Couet |
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...A la fin de l'histoire du catharisme... |
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En 1423, les serments prêtés par les officiers de l’Inquisition d'Albi à l’insu de leur évêque seront révoqués et les plaintes à Rome n’y feront rien. Les pontifes soutiendront en général leurs officiers, tel l’inquisiteur Pierre Turelure en 1441, en conflit avec les évêques languedociens et recevant l’appui officiel et ferme du pape Eugène IV. Il faudra attendre le XVIe siècle pour voir l’Inquisition relever des tribunaux royaux, le titre d’Inquisiteur dans l’Eglise ne devenant que purement nominal. | |
... et aussi nos contemporains Robert le décorateur ensemblier de cinéma, Philippe le décorateur de théâtre et de cinéma récompensé à Hollywood, etc... |
Cette liste de noms évolue au fil des informations qui nous parviennent !
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